5 reasons why brands should monitor their images

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2 avril 2019

5 reasons why brands should monitor their images

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Comme le montre notre étude sur les sites de mode et de luxe, les marques négligent massivement la signature de leurs images (copyright). C'est le signe que, pour les marques, leurs images n'ont plus de valeur et n'apportent plus d'informations significatives après leur mise en ligne. C'est une erreur et voici pourquoi.

Pourquoi les marques devraient-elles surveiller leurs images ?

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En surveillant son contenu visuel, une marque peut observer ses différentes publications en ligne. Elle peut alors rapidement et facilement identifier les ventes illégales ou de contrefaçons, les utilisations de visuels obsolètes (modèles retirés du marché par exemple) ou les utilisations négatives qui pourraient nuire à son image. Elle peut également mesurer la portée d'une campagne, le succès d'un de ses modèles, identifier ses distributeurs et leurs sites...

Voici quelques cas pratiques :

Fuites visuelles

Laissez vos images dénoncer l'auteur de la fuite

Très souvent, les marques de luxe partagent des photos de leurs nouveaux produits avec des partenaires clés (imprimeurs, sociétés de relations publiques, etc.) avant leur lancement officiel. La divulgation prématurée d'une image au public peut avoir des conséquences désastreuses. En plaçant des identifiants invisibles dans les images, Imatag peut localiser la source de la fuite si celle-ci se produit.

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Visuels obsolètes

Ne laissez pas de vieilles images gâcher vos efforts de marketing

En contrôlant leurs images en ligne, une marque peut vérifier que les visuels utilisés sur les sites de vente par ses distributeurs correspondent au nouvel emballage de son produit. La marque évite la frustration des clients tout en améliorant la gestion de la distribution.

Les visuels des modèles retirés peuvent également être mis en cache par les outils de recherche et de comparaison, parfois plus longtemps que le cycle de vie du produit. En les découvrant, la marque peut prendre deux types de mesures : soit envoyer une notification de retrait au site de référencement, soit empêcher le déréférencement du produit en mettant à jour le site avec un lien vers ses nouveaux visuels.

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Marché gris

Utilisez vos images de produits comme indicateurs de stocks anciens

Les marques de luxe craignent que les stocks invendus ne finissent par être vendus au rabais sur le "marché gris" des revendeurs non agréés, ce qui nuirait à l'image et au pouvoir de fixation des prix de leurs marques. Lisez cet article sur les quelque 500 millions d'euros (437 millions de livres sterling) de montres Cartier détruites au cours des deux dernières années pour éviter qu'elles ne soient vendues à des prix cassés et cet article sur la décision de Burberry de brûler des sacs, des vêtements et des parfums d'une valeur de plusieurs millions d'euros.

La présence de visuels obsolètes étant également un bon indicateur de ventes d'occasion ou de stocks vendus à prix cassés, le suivi de leurs images pourrait permettre aux marques d'identifier ou d'anticiper les risques de dévalorisation liés à la mise en ligne de vieux stocks.


Nouvelles du Guardian

Contrefaçons

Votre droit d'auteur est également un indicateur, même si l'image n'est pas la vôtre

En recherchant les sites dont les métadonnées de crédit contenaient "Chanel", nous avons remarqué que 25 % des sites utilisant des images de Chanel étaient interdits par la marque (fermés), tandis que d'autres étaient toujours actifs :

recherche de crédit et contrefaçon

Dans cet exemple, le copyright "Chanel" nous a permis de retrouver une photo officielle produite par Chanel et le site qui l'a utilisée dans son article sur la contrefaçon.

Nous avons également remarqué que les détaillants qui produisent leurs propres visuels ajoutent le copyright de la marque dans les métadonnées de la photo à des fins de référencement. Pour l'instant, ce n'est pas vraiment efficace. En effet, Google ne lit le champ copyright IPTC de l'image que pour respecter le droit à l'image, et non pour l'utiliser comme champ de recherche. IMATAG est le seul moteur de recherche d'images à le faire. Les marques peuvent donc retrouver les images de leurs produits (même s'il ne s'agit pas de leurs propres photos) en recherchant leur crédit sur le moteur de recherche Imatag.

Contrôle des images :

La chasse aux métadonnées est plus rapide que la reconnaissance visuelle

Comme mentionné plus haut, il nous a suffi d'une requête sur "Chanel" dans notre base de données web-credited-images pour trier par ordre décroissant d'occurrence les sites utilisant des images Chanel protégées par le droit d'auteur. D'autre part, si vous avez déjà effectué une recherche inversée sur des images de sacs de mode, vous avez probablement remarqué que, finalement, elles se ressemblent toutes ! Au final, la reconnaissance visuelle génère en moyenne 20% d'erreurs.

C'est l'une des raisons pour lesquelles la saisie de métadonnées sur les droits d'auteur n'est pas aussi inutile que les marques semblent le penser, mais ce n'est pas la seule.

Pourquoi saisir des métadonnées sur les droits d'auteur ?

Concrètement, cela permet d'identifier plus efficacement les sites à surveiller. Techniquement, la chasse aux métadonnées de crédit est plus rapide et plus précise que la reconnaissance visuelle. Une fois les sites contenant des crédits/droits d'auteur identifiés, il est possible de les explorer spécifiquement et de procéder à l'identification visuelle des images.

Sur le plan commercial, une marque peut avoir tout intérêt à ce que ses images soient référencées par les moteurs de recherche, tels que Google Image. Cela garantirait que toute recherche de son nom n'aboutirait qu'à des images approuvées par la marque.

Les détaillants insèrent dans les métadonnées du copyright le nom de la marque et l'URL de leur site. Cette pratique vise à optimiser le référencement (la recherche du nom de la marque aboutira sur leur site) et garantit également que leurs visuels ne seront pas repris par des concurrents.

D'un point de vue juridique, il est évident que les raisons de mentionner le crédit et le droit d'auteur sont nombreuses, qu'il s'agisse du droit commercial, du droit d'auteur ou de la propriété de l'image. La suppression volontaire de ces données peut constituer une circonstance aggravante en cas d'utilisation non autorisée.

Étant donné que les sites web des marques sont souvent utilisés comme source principale d'images pour quiconque cherche à publier des images de produits, il est logique qu'une marque crédite correctement ses images.

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